- Non ! Dit-elle. Non !
Dans ce monde là, je n'ai pas besoin de toi,
Tu vois, c'est pire, pire encore....
C'est pire que le mot
qui respire où tu dors,
C'est pire que ce qu'âme
fait d'amour à un corps,
C'est pire que ce dort
de nous qui nous renverse,
quand la minute cesse
et te perd à secondes
tant l'heure qui s'en blesse
Aux quatre coins du monde
tourne à rondes de pièce
l'éperdu de temps mort.
Non ! Dit-elle, non !
Dans ce monde là, je n'ai pas besoin de toi !
c'est bien plus loin que çà...
c'est bien plus loin encore que ce que l'on s'en dit,
ça musique de harpe des Aria d'harmonies,
ça ouvre les saisons à coeur de Vivaldi,
Quand pleure d'opéra les larmes de Verdi,...
Non ! Dit-elle, non !
Dans ce monde là, je n'ai pas besoin de toi,
Puisque de toi et moi de lui déjà nous sommes,
ce parti symphonie d'en être femme et homme,
qui se serrent à nuques que d'un violon archet
a cordes d'un ensemble d'une note évadée
qui envole à esprit nos ailes déployées.
Que trouverions-nous là de plus à chercher, dit-elle ?
A l'éclatant d'aimer le ciel s'ensoleille
et coule tout son miel de rayons à nos bouches,
qui butinent à finesse ce que lèvres s'en touchent,
jusqu'à fondre l'affleure du coeur de ses pétales,
et puise profondeur la douceur sépale
qui ne s'en ouvre qu'à bal, d'Amour musicien.