Anachorète monolithe Un souffle pousse ses racines et enfle dans la lumière nue l'heure neigeuse du thé. Peut être que dans les résidus de vide du langage myosotis comme un bruissement qui passe L'ivre rêve à tous les lendemains qui ventent sur Syllepse...
Lire la suiteLa mort, l’amour, la vie
J’ai cru pouvoir briser la profondeur de l’immensité Par mon chagrin tout nu sans contact sans écho Je me suis étendu dans ma prison aux portes vierges Comme un mort raisonnable qui a su mourir Un mort non couronné sinon de son néant Je me suis étendu...
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