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Le poète Jean Claude Mahy - Trop d'ailes - poème de Laurent Chaineux Schenmatzler vous pouvez retrouver le texte ici : https://www.lezardes-et-murmures.com/article-trop-d-ailes-44068230.html
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Lire la suiteles sortilèges s’effacent et les cœurs dégrisés retournent à l’ennui des soirées solitaires. Les vents ont balayé les mots d'amour et les feuilles fanées. Les braises sont éteintes des feux de la St Jean et le froid qui s'installe attend l'éternel retour...
Lire la suiteJ'imagine et je cherche le verre de liqueur ou de rhum, et la fumée trop sèche qui arrache une larme à l'oeil de l'homme qui s'exorbite et se fâche de ne pas mourir en mâchant son shilom Laurent Chaineux Schenmetzler
Lire la suiteIt happened slowly an approach a rustle of fabric in the soundtrack a dot of glue on the picture and then the confused feeling that something is wrong a counterpoint a counterstep. I was three, maybe, the film fraying the movie skipping and me splitting...
Lire la suiteJe t’écris d’une planète en équilibre entre mon cosmos et celui tout aussi vaste qui nous entoure. A peine un peu de vertige… Je suis dans le créneau favorable pour les transmissions interplanétaires ... Exceptionnellement, nos planètes respectives ont...
Lire la suiteLà-haut, tout autour Avant la césure Bien avant le jour Bien avant l'azur bien avant l'amour Bien avant l'usure L'eau de mon cœur... source L'eau de mes mains... source Le pain de tes lèvres le vin de tes yeux Mon souffle sur la braise la douleur qui...
Lire la suiteL'aiguille sur midi s'est plantée et le temps, épinglé dans l'ardeur, égrène les secondes givrées sur les pages de ton livre d'heures. Me suis tant baigné au firmament ai glané tant de cendres et de sel... Tout s'embrase à la moindre étincelle C'est la...
Lire la suiteFruit confus Extirpé Violé Je suis mort Au jardin Des funérailles de l'infante assassinée. J'ai Dans le crâne Un grenier Que je promène Avec ses toiles Ses pinceaux de poussière Coulés de la lucarne Et Dans le sac qui me courbe l'échine Des années de...
Lire la suiteÉ crire... mot secret, sacré, sucré, acidulé parfois. Il y a là-bas des faubourgs où je me perds Où l'écriture se fait entrevoyure d'insaisissables lunes Écrire, Écrire pour le geste une chanson troubadoure où l'écrit vain s'endort sur la bouche du peintre....
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