LES PASSEUSES La ville où j’entre en passeuse… Sur la route de pierre, je traîne le gris de mon âme, rasant le corps friable des murs de la ville. C'est elle qui pleure comme elle perd sa peau d'eau, des larmes de papier aux gémissements de mort, c'est...
Lire la suiteaurelia menninger
En gravissant la montagne
En gravissant la montagne, je m’approchais progressivement d’une âme qu’il me semblait connaître. É puisée d’avoir déjà commencé à marcher Je continuais, les mots sur la route montrant des obstacles à dépasser. Jamais je ne me suis arrêtée Jamais je ne...
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